PARTIE RP :
Nom : Winter
Prénom : Rain
Age : Seize ans
Date de naissance : 13 Décembre
Famille : Parlons-en tient, de cette bande de fous furieux. Oh, il est vrai que j’exagère sans doute pas mal en parlant ainsi de ceux avec qui je vis, mais tout de même. Commençons par mon père, un type tout ce qu’il y a de plus normal. Enfin, en apparences. En vérité, ce type ne vit que pour son boulot, monsieur est comptable dans une grande banque anglaise, et n’a aucune autre ambition que de remplacer son supérieur hiérarchique. Je ne le voit pas beaucoup à la maison, déjà parce que je suis pas énormément là dans l’année et ensuite parce que lui n’est pas souvent présent non plus. Tel père, tel fils ? Honnêtement ? J’espère ne jamais lui ressembler.
Passons ensuite à ma mère. On pourrait croire qu’avec tout le boulot que fait mon père elle en ferait moins de son côté. Erreur. Elle est professeur de japonais, étant une japonaise venue vivre en Angleterre avec ses parents quand elle était enfant, dans une grande école du pays. C’est peut-être grâce à elle que je parle plus ou moins une langue étrangère, bien que le japonais ne me passionne guère pour être honnête.
A part ça, j’ai également un frère aîné, de dix-neuf ans, un accro de musique qu’on doit presque tirer de force loin de sa guitare quand on sort et une sœur, plus âgée que moi elle-aussi mais plus jeune que notre frère, elle a dix-huit ans. Je crois que nous ne sommes pas très proches et que ça ne me dérange pas vraiment puisque je ne suis pas souvent chez nous.
Histoire :
Je présume que je n’ai pas grand-chose à dire sur ma personne. Je suis né il y a pas mal d'années à Londres, dans la famille Winter. Je suis le plus jeune de ma famille et ça ne m’a jamais dérangé. Je me souviens qu’enfant, mes parents partaient tout les deux assez tôt à leurs travails et qu’une dame s’occupait de nous conduire à l’école et tout le reste. Je ne l’aimais pas parce qu’elle nous traitait comme si nous avions trois ans. Mais comme j’ai toujours été un enfant calme et poli, je ne lui ai jamais dit. Après tout, ma sœur le faisait très bien à ma place. Et puis, quand mon frère a eu douze ans, l’espèce de vieille harpie est partie et on se débrouillait pour marcher jusqu’à l’école, qui était à dix minutes pour nous et quinze pour le collège de mon frère, par nous-mêmes. Je n’ai pas énormément de souvenir de l’école, des cours et de ce genre de choses. Mais je crois que j’aimais bien. Pas vraiment mes camarades, qui étaient sans doute un peu trop bruyants pour moi, mais plutôt le fait d’apprendre. Pas pour toutes les matières bien sûr, mais pour certaines. Par exemple, je crois que je détesterais toujours les mathématiques et ceci pour le reste de ma vie.
Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de mon enfance, maintenant que j’y repense. Cependant, je crois que j’étais parfois un peu jaloux de mon frère et de ma sœur. Surtout d’elle en fait. Parce que mademoiselle Elice, tel est son nom, a toujours eu une facilité déconcertante à s’exprimer, dire ce qu’elle ressentait, moi non. Il me semble que dès que j’ai su lire, je suis resté avec mes livres, loin du reste du monde. C’est comme ça que j’ai acquis la réputation, bien que clichée, de rat de bibliothèque vers l’âge de treize ans. Mais les gens se trompent. Je ne suis pas un sociopathe qui refuse les contacts humains. Disons seulement les autres adolescents sont un peu trop bruyants pour moi, généralement. A quatorze ans, j’ai commencé à porter des lunettes et là les autres m’ont considéré comme un ‘intello’. Bien qu’ils ne m’embêtaient pas non plus trop avec ça. Ma sœur veillant au grain. Parce que même si nous étions très différents, il était hors de question que quelqu’un s’en prenne à son adorable petit frère. Je me demande si maintenant elle pense toujours ainsi.
J’ai découvert mes pouvoirs à quinze ans, par une journée de grande chaleur où j’étais assit dans le jardin, en train de lire un roman assez ancien. Je n’ai jamais beaucoup aimé la chaleur et c’est pour ça que vivre en Angleterre, où il pleut beaucoup, me plaît beaucoup, mais ce jour là était une de ces journées exceptionnelles où il faisait trop chaud pour faire quoi que se soit. Enfin, je dis ça mais mon frère était planté dans sa chambre avec sa guitare, mes parents au travail et ma sœur était sortie faire une partie de poker avec ses amies. De mon côté, je me contentais de légumiser sur l’herbe tout en jetant de temps à autres des regards vers le ciel. Je voulais une bonne pluie fraîche, histoire de refroidir un peu l’atmosphère étouffante. Vous ne me croirez peut-être pas, bien que je pense que si, mais la pluie est tombée. Pas d’un seul coup bien sûr. Les nuages se sont lentement dirigés au-dessus de Londres, en dix minutes environ et ensuite, s’est tombé. Bien sûr, j’ai pensé qu’il s’agissait de la chance et de rien d’autre. Comme quand vous voulez qu’il y ai du soleil et que le temps s’éclaircisse dans l’heure qui suit.
Le truc, c’est qu’avec moi, s’est arrivé plusieurs fois. Pas énormément, certes, mais plusieurs tout de même. Mais ce n’était rien de comparable à ce qui s’est passé par la suite. J’avais quinze ans et demi quand j’ai manqué de mourir. En fait, vu que ma chambre est au deuxième étage de la maison, je ne suis pas si sûr qu’une chute serait mortelle, mais dans le doute, disons que ça aurait pût l’être. C’était un jour où il faisait vraiment mauvais, un bel orage avec vent violent et bien que se soit très beau à regarder, ma mère m’avait dit de fermer mes volets. Il est vrai que pour ma sécurité, c’était tout de même mieux. Le truc, c’est que mes volets sont de vieux machins à rabat, qui ont une certaine tendance à se bloquer. Et bien sûr, ce jour là, ils avaient décidé de ne pas vouloir se rabattre. Prenant appui sur le rebord de la fenêtre avec mes genoux, je me suis penché en avant pour les refermer et, avec ma chance, j’ai glissé.
Dire que j’ai eu peur serait en-dessous de la vérité. J’ai eu la frayeur de mon existence à ce moment là. Alors j’ai fermé les yeux et j’ai hurlé. Parce que qu’après tout, je ne n’avais aucune autre manière de réagir. Et quand j’ai rouvert les yeux, j’étais à quelques mètres du sol, en train de tanguer à cause du vent, sans vraiment comprendre. Cherchant à savoir ce qui m’avait retenu, j’ai tourné un peu la tête pour voir le truc le plus étrange de mon existence. Des ailes. De grandes ailes qui ressemblaient à celles des papillons, sauf qu’elles semblaient faites de vent et de nuage. Je m’explique, en fait, c’est comme si on avait tissé deux grandes ailes avec de la brume si vous préférez. Dans tout les cas, c’était assez effrayant. Je voulais redescendre moi. Et comme si les nouveaux trucs bizarres dans mon dos avaient comprit, ils cessèrent de battre en un instant. Et c’est comme ça que je me suis retrouvé étalé sur le sol. Me redressant avec peine, j’ai tendu un bras en arrière, pour frôler une de mes ailes, cherchant à savoir si je ne rêvais pas. C’est à cet instant que la porte arrière de la maison c’est ouverte et que ma sœur et mon frère sont apparut dans son encadrement.
Dire qu’ils pensaient leur petit frère bizarre parce qu’il était un peu trop prit dans ses bouquins… Là, j’ai explosé tout les quotas de l’étrange pour eux. Heureusement pour moi, mes ailes ont disparu à ce moment là et quand les parents sont arrivés, on a fait comme si de rien n’était. J’ai parlé un peu avec mon frère et ma sœur, leur expliquant que pour moi aussi, c’était louche mais que je n’y pouvais rien. Et, à ma surprise, ils m’ont dit que ce n’était pas si important et que je resterais toujours leur frère. L’ironie du sort a cependant été le jour où ma sœur a ‘accidentellement’ échappée mon secret à nos parents. Et que là, ma mère m’a dit qu’elle était comme moi. Un léger choc pour ma petite personne, si je puis dire. Résultat des courses, elle m’a dit qu’elle allait m’inscrire dans une école pour gens ayant des dons, sans me laisser le temps de donner mon avis bien sûr. Ma mère n’a cependant jamais eu d’ailes. Par contre, elle peut également contrôler la météo. Pour ce qui est de mes ailes à moi, il faut savoir qu’elles ne sont apparues que deux fois, dont le jour où je les ai vues pour la première fois. Et que je ne les contrôle pas vraiment. Pour ne pas dire pas du tout. En tout cas, je ne me suis jamais entraîné à tenter de les faire apparaître par moi-même. Parce qu’en fait… Pour moi, ça reste encore une bizarrerie sur ma personne que je préfère garder cachée. Et c’est comme ça que je suis entré à Mytha.
Rôle à Mytha : Elève
Apparence physique : Je présume que je suis quelqu’un de basique. Bien que je ne sois pas très grand, avec mon mètre soixante-deux, je présume que ce n’est pas vraiment quelque chose de très important. En tout cas, moi je m’en fiche un peu. A part ça, ma peau est pâle, comme celle de la majorité des anglais en tout cas. Si nous passions ensuite à mes cheveux. Ils sont noirs, comme ceux du reste de ma famille et m’arrivent entre le milieu et le bas du cou. Sans être décoiffés, ils apparaissent souvent comme un brin en bataille, ce que je ne comprends pas vraiment étant donné que je les brosse avec attention chaque jour. De toute manière, cette masse capillaire est plus un problème qu’autre chose. Cependant, je dois avoir un minimum de coquetterie car je refuse de les faire couper et ceci depuis plusieurs années. Sinon, mes yeux sont grisâtres. Ce n’est pas une couleur très répandue mais ce n’est pas non plus si rare que ça. Je porte de fines lunettes ovales en permanence ou presque. Puisque qu’après tout, je suis myope. Pas très myope, mais myope tout de même.
Ma manière de m’habiller diffère selon les jours mais mes vêtements sont généralement dans des tons ternes ou sombres, parce que je trouve que ça me va bien. A l’inverse, je ne mets jamais ce que j’appelle des habits provocateurs. Style les trucs avec des chaînes ou un peu trop moulants ou découvrant. De la même manière, je ne possède que très peu de bijoux, bien que je porte parfois des colliers assez simples. Eh bien, il me semble que c’est tout ce que je peux dire sur mon physique.
Passion : La lecture. C’est vraiment ce qui m’intéresse le plus dans ce monde. Je peux relire le même livre des dizaines de fois si jamais je l’aime. Et j’apprécie également de découvrir de nouveaux auteur. Je peux lire tout les gens, du policier au histoires d’amours. Bien que peu de gens savent que j’aime bien les histoires romantiques. Après tout, ce n’est pas le genre de choses que je dis comme ça.
Qualités : C’est un peu dur à dire ça. Je présume que je suis quelqu’un de sérieux, avec un esprit réfléchi. Et que je suis assez ouvert d’esprit. A part ça, je ne vois pas vraiment ce que je pourrais dire d’autre sur moi. Je suis honnête et n'aime pas mentir.
Défauts : Je ne suis sans doute pas des plus amical avec les étrangers et même avec les gens que j’apprécie j’ai du mal à m’ouvrir. Ce n’est pas de la timidité, plutôt… Je pense que je suis égoïste et que je me dit que je serais blessé si je m’approche trop des autres. Oui, ça doit être ça je pense. Mais ça ne me dérange guère.
Contrôle : Le ciel
PARTIE HORS-RP :
Code : Kakanibale
Comment trouvez-vous le forum ? : Classe. Honnêtement, le design est beau, les gens sympas et c’est plutôt actif, donc j’aime beaucoup.
Comment avez-vous eu l’adresse du forum ? : Par l’annuaire des forums^^
Moi, Rain Winter ai lu la charte du forum et m’engage à la respecter.
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